15/06/2017 « La high-tech entre au bloc », conférence Sciences à Cœur

La prochaine conférence « Science à cœur » aura lieu le jeudi 15 juin 2017 à 18 h, dans l’amphithéâtre D du campus de la Pitié-Salpétrière – 91 boulevard de l’Hôpital, 75013 Paris.
Du robot chirurgien à l’imagerie par ultrasons, les avancées scientifiques et technologiques aident les praticiens à établir des diagnostics plus précis et modifient radicalement leur travail. Au programme : points de vue croisés entre ingénierie, robotique, modélisation et médecine.
Avec la participation de :
– Maya de Buhan, , titulaire de la chaire junior Sorbonne Universités FaciLe,
– Dominique Hasboun, maître de conférences à l’UPMC, neurologue et neuroanatomiste et directeur de TICEMed,
– Emmanuel Gutman, directeur général de Streetlab,
– Guillaume Morel, professeur de robotique à l’UPMC et membre de l’institut des systèmes intelligents et de robotique (ISIR, UPMC/CNRS/Inserm),
– Benoît Perthame, professeur à l’UPMC et directeur du laboratoire Jacques-Louis Lions (LJLL, UPMC/CNRS/Université Paris Diderot)

Une rencontre animée par Daniel Fiévet, journaliste scientifique sur France Inter.
L’entrée est gratuite, l’inscription en ligne est recommandée.

14/06/2017  » Probabilités, Irréversibilité et Propagation du chaos  » par Isabelle Gallagher

Le mercredi 14 juin à 18h00, Isabelle Gallagher, PR IMJ-PRG, directrice de l’UFR de mathématiques de Paris-Diderot de 2013 à 2017, donnera à l’IHP une conférence tout public dans le cadre du trimestre de recherche Dynamiques stochastiques hors d’équilibre :  » Probabilités, Irréversibilité et Propagation du chaos « .
Gratuit dans la limite des places disponibles, après inscription en ligne.

(photo : Image des maths)

17/05/2017 Les plantes font-elles des mathématiques (bien avant nous) ? Conférence de Stéphane Douady à l’IHP

Mercredi 17 mai, de 18h à 20h,  Stéphane Douady (CNRS, Université Paris Diderot) donnera une conférence grand public à l’IHP, amphi Hermite. L’entrée est gratuite, après inscription en ligne.
Résumé : Les plantes ont a première vue des formes trop variées et complexes. Mais justement, elle peuvent présenter des formes fractales parfaites, bien plus mathématiquement pures (et simples) que les cours de la bourse ou les côtes de l’Esterel. Et cela peut s’expliquer par leur algorithme même de croissance. Elles s’amusent aussi à présenter des arrangements de feuilles ou fleurs, avec des nombres de spirales qui sont exactement des nombres de Fibonacci. Comment l’expliquer ? Encore une fois, en regardant comment les plantes poussent, on voit qu’elles sont contraintes de suivre des règles d’addition qui mènent directement à Fibonacci. Enfin, la forme des feuilles a l’air irrégulière et très variable. Pourtant, elles peuvent aussi souvent être seulement construites avec des règles géométriques simples comme les ribambelles de papier. Bref ces exemples nous montrent qu’au lieu de regarder les plantes comme des compagnons bien immobiles et décoratifs (ou nourrissants), nous pourrions les regarder un peu mieux et nous en inspirer.