21/07/18 Les mathématiques à l’honneur sur Arte

Samedi 21 juillet, Arte diffuse à 22h40  Le grand mystère des mathématiques, un documentaire américain  réalisé en 2014, avec entre autres l’astrophysicien  Mario Livio, suivi à 23h30 de Mathématique de la chauve-souris, la captation d’une conférence du mathématicien Cédric Villani.

A retrouver en bibliothèque :

Dieu est-il mathématicien ?

Mario Livio, « Dieu est-il mathématicien ?« , Odile Jacob, 2016. [Bibliothèque des Licences, cote 501.51 LIV]

coffret DVD Arte

Cédric Villani, François-Joseph Botbol, Un mathématicien aux Métallos, huit conférences écrites et présentées par Cédric Villani. Arte Editions : [Coffret de 4 DVD, à demander à l’accueil de la Bibliothèque MIR, cote 01.1 VIL 1-8]

 

02/07/2016 Le mystère Majorana sur France 5

Dans  le documentaire de Camille Guichard diffusé samedi à 19h sur France 5, Etienne Klein se lance sur les traces d’Ettore Majorana (1906-1938), génie précoce, disparu mystérieusement à 32 ans, à qui il a consacré un livre : En cherchant Majorana, le physicien absolu. Editions des Equateurs / Flammarion, 2013. Disponible à la Bibliothèque des licences, à la cote 502.9 MAJ

Éditions des Équateurs - En cherchant Majorana - Etienne Klein

« Ettore Majorana m’est “tombé dessus” lorsque je commençais mes études de physique. À lui seul, il incarne la contradiction la plus radicale qui fût jamais apportée à tout ce qui est ordinairement considéré comme ordinaire chez les physiciens. Il est une singularité pure, qui a surgi dans l’Italie des années vingt, au moment où la physique venait d’accomplir sa révolution quantique et de découvrir l’atome. […] Né en 1906, Majorana fut un théoricien fulgurant. Ses travaux sur l’atome et l’interaction nucléaire ont fait date. En 1937, il publia même un article prophétique dans lequel il envisage l’existence de particules d’un genre nouveau, qui pourraient résoudre la grande énigme de la matière noire. […]  Ce jeune homme maigre, aux yeux sombres et incandescents, était considéré comme un génie de la trempe de Galilée. Mais de tels dons ont leur contrepoids : Majorana ne savait pas vivre parmi les hommes, et c’est la pente pessimiste et tourmentée de son âme qui finit par l’emporter. À l’âge de trente et un ans, il décida de disparaître et le fit savoir. Une nuit de mars 1938, il embarqua sur un navire qui effectuait la liaison Naples-Palerme et se volatilisa. »